Activité-Paranormale


Red devil Information

Publicité

Rechercher

Développement

Apportez vos talents de codeur !

Développer

Citations

Random quotation
J’étais ravi, extatique et extrêmement surpris que nous avions réussi.
(Neil Armstrong)

Événements - 1 octobre

Event Calendrier

Validation

Valid XHTML 1.0 Transitional Valid CSS!

Crystal ballTour de magie

Sea monsterAlbert de Rochas d'Aiglun

E. Maurice, Public domain, fr.wikipedia.org


Eugène Auguste Albert de Rochas d'Aiglun, né à Saint-Firmin (Hautes-Alpes) le 20 mai 1837 et mort à Grenoble le 2 septembre 1914, est un militaire, administrateur, auteur d'études historiques et d'ouvrages sur les phénomènes paranormaux et cartographe français.

Albert de Rochas d'Aiglun est issue de la famille Rochas, ancienne famille française noble originaire du Gapençais.

Biographie

Fils de Marie Joseph Eugène de Rochas d'Aiglun, juge au tribunal de Briançon, et de Félicité Camille Jayet, il est issu d'une famille notable de Gap, qui a donné des hommes de loi et un maire. Après des études au lycée de Grenoble, il entre à l'École polytechnique en 1857 et en sort officier du génie. Il prendra sa retraite comme lieutenant-colonel en 1888. Il est nommé administrateur de l’École polytechnique et fait partie, en qualité de secrétaire, du comité de rédaction du Livre du centenaire.

Pendant sa période à l’École polytechnique, il a un attrait pour le dessin.

Il écrit de nombreux ouvrages d'érudition sur l'histoire militaire des Alpes et les fortifications. En particulier, il publie la correspondance de Vauban. Il participe à la revue l'Initiation.

On le voit s'intéresser aux hirondelles auprès de Jean Desbouvrie3. Vers la fin de sa vie, il se consacre à des études sur les phénomènes paranormaux : spiritisme, magnétisme, hypnose, lévitation, réincarnation. Charles Lancelin est son disciple. En 1892, il publie Les États profonds de l'hypnose où il reprends les travaux de Jean-Martin Charcot.

Alors qu'il possède une résidence à l'Agnelas, près de Voiron, il meurt à Grenoble où il s'est retiré, au tout début de la première guerre mondiale, le 2 septembre 1914, ayant suivi les premiers combats qui avaient commencés au mois d'Aout, avec son regard d'ancien militaire. Il espérait une victoire de la France, mais il craignait aussi une débâcle militaire, comme pour la guerre de 1870, ou la France fut vaincue, face à l'Empire Allemand naissant.

Numéros d'identification

Sources


Publicité