Banduric affirme que le gouvernement américain, en collaboration avec des groupes privés de recherche, aurait mené des opérations clandestines visant à étudier et à rétroconcevoir des matériaux avancés, supposément récupérés sur des engins d’origine inconnue. Selon lui, certaines de ces technologies seraient si avancées qu’elles dépasseraient de plusieurs siècles notre compréhension actuelle de la physique.
Parmi les éléments les plus marquants de ses déclarations figure l’évocation d’un "éclat métallique" capable, selon ses dires, de se reconfigurer et de se camoufler dans son environnement. Ce comportement l’aurait convaincu de l’origine extraterrestre de l’objet. Banduric va plus loin, affirmant que des "trillions de dispositifs extraterrestres invisibles" seraient disséminés à travers le monde, agissant comme des vecteurs de surveillance ou de manipulation de l’espèce humaine.
Il soutient également que ces dispositifs seraient conçus pour s’autodétruire en cas de tentative d’analyse, et qu’aucune technologie terrestre ne permettrait de les reproduire ou d’en comprendre le fonctionnement.
Néanmoins, aucune preuve tangible n’a été présentée pour étayer ses propos. L’ancien ingénieur n’a fourni ni documentation, ni échantillon, ni témoin corroborant ses affirmations. La communauté scientifique reste donc extrêmement prudente, voire sceptique.
Alors que certains y voient un appel à reconsidérer la nature de certains phénomènes inexpliqués, d'autres dénoncent une tentative de réactiver les récits ufologiques les plus spéculatifs. La multiplication des révélations de ce type, sans fondement vérifiable, contribue à brouiller la frontière entre science, fiction et désinformation.
En attendant, la question demeure : s’il existe réellement des trillions de dispositifs invisibles autour de nous… où sont-ils, et pourquoi rester si discrets ?